Vomir, à en mourir.
Plus aucunes forces pour se relever...
Partez, tous! Laissez moi pourrir dans ces déchets immondes,
Laissez moi, moi et mes pensées, laissez moi dépérir, sous vos yeux.
Tout ces espoirs partis en fumée, encore des illusions,
N'éteignez pas ce disque, qu'il tourne en boucle, jusqu'a ce que j'en vomisse de désespoir.
Là, mes yeux sec d'avoir tant pleurer, mes muscles endoloris d'être rester assise par terre,
resserrer sur moi même, mes bras rougis de blesures à force de m'y accrocher,
mes paupières gonfler et rougis par le mal de mon être, des traces noirs dégoulinants
de par et d'autre de mes si mignonnes joues de gamine attardée, mon regard vide d'envie et d'humanité.
Laissez moi là, s'il vous plaît, je ne représente rien, rien...
Ne m'accordez aucunes confiance, ne placer aucun espoir en moi, ne vous donnez
pas le mal d'essayer de me relever.
Mon corps entier refuse d'avancer,seul mon instinct espère encore peut être me voir combattre. Et encore, je crois que lui aussi je les atteints, toucher en plein coeur,
amadouer pour le délaisser...
N'allumez pas la lumière, laissez moi, là, dépérir dans le noir. Ne venez pas me chercher,
n'osez même pas m'accorder un regard, je ne suis pas celle que vous croyez, aimeriez connaître, Je suis perdue. Simplement, fermez cette porte derrière vous, n'écoutez pas
à travers, n'attendez pas que j'ouvre. Trop de fois on m'a tendu la main pour que je déçoive
par la suite. Plus jamais ça.
Contentez vous de partir, je vous en supplie, laissez moi dépérir.